MAIN Tenir s'est fait taper sur les doigts !
En Juin 2021, l'association MAINTENIR avait licencié une aide à domicile pour une prétendue faute grave.
Le prétexte était un manque de discrétion dans la relation entre deux bénéficiaires.
L'employeur mettait aussi en avant des faits anciens qui n'avaient rien à voir.
Pourtant la bénéficiaire témoigne que la salariée n'est pas intervenue dans cette relation.
L'employeur a maintenu le licenciement.
Le
22 septembre 2023 le Conseil des Prud'hommes de Lyon a constaté
l'absence de la faute grave et a jugé le licenciement de "sans cause
réelle et sérieuse".
L'employeur est condamné à indemniser le licenciement et à payer 4000 € de dommages et intérêts, plus 2000 € de frais de justice.
L'employeur devra également rembourser à l'Assurance chômage, les indemnités versées à la salariée