La cour d'appel d'Orléans a confirmé un jugement du Conseil des Prud’hommes de Blois.
Celui-ci avait condamné l'ADMR du Loir-et-cher, à payer des dommages et intérêts aux salariées, pour non respect du contrat de travail.
Comme avec d'autres employeurs, il s'agissait de glissement des tâches.
Les Aides à Domicile devaient effectuer des gestes nécessitant la qualification d'Auxiliaires de Vie comme : toilettes..., lever..., coucher..., transferts..., surveillance du poids..., etc..., sans en avoir ni le salaire ni la formation et sans requalification du poste de travail.
Ces collègues avaient fait grève fin 2020 et début 2021 et avaient saisi les Prud’hommes
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